Le parcours professionnel de Mathieu Sbai
Mathieu Sbai est diplômé de MIAGE (Méthodes Informatiques Appliquées à la Gestion des Entreprises). Il a travaillé dans un premier temps au service du Crédit Agricole. Il est aujourd’hui un ingénieur et expert en Systèmes d’Information (SI), plus concrètement consultant AMOA (Assistance à Maîtrise d’Ouvrage) /AMOE (Assistance au Maître d’œuvre). Mathieu Sbai élabore de nombreux projets au niveau mondial. Habitant en Suisse, il voyage afin, par exemple, de trouver des solutions aux problèmes de chômage. Il tente de mettre en place des systèmes après avoir observé les failles des cursus universitaires et des méthodes scolaires. Il essaie d’enrayer les difficultés des diplômés et des entreprises comme la non-corrélation entre les formations en SI et les véritables projets à réaliser. Ces différents engagements proviennent du fait qu’il a essuyé de nombreux échecs durant ses premières recherches d’emploi. Cet ingénieur a d’abord exercé des missions inintéressantes et même dégradantes au vu de ses connaissances et diplômes obtenus.
Le constat qu’il a pu réaliser sur le système de recrutement
Comme lui, de nombreux diplômés en SI ne trouvent pas d’emploi ou intègrent une équipe d’ingénieurs plusieurs mois, voire plusieurs années après leurs études. Les recruteurs mobilisent les arguments selon les quels les jeunes demeurent inexpérimentés et leurs compétences ne sont pas appropriées à leurs attentes. Selon Mathieu Sbai, les étudiants possèdent de nombreuses qualités et capacités pour exercer sur les postes convoités. Mais la faculté de communiquer pour effectuer le travail d’équipe, le vocabulaire et les savoir-faire restent totalement inconnus à leurs yeux.
Le système SISOTECH : origine et évolution
Pour pallier ce décalage entre les apprentissages et la réalité du terrain, Mathieu Sbai a ecris, avec l’aide d’autres jeunes diplômés, la société ISOSET en 2008. Elle s’appuie sur le système SISOTECH dont les cours en informatique s’adaptent à l’âge et aux besoins des apprenants. En effet, ce label de qualité comporte des méthodes d’apprentissage, des procédures spécifiques, ainsi que des programmes en Systèmes d’Information (SI) et Technologies de l’Information (IT). Les formateurs ont longuement travaillé dans les entreprises et savent apporter les savoir-faire et savoir-être nécessaires à l’intégration des personnes dans le milieu professionnel. Durant vingt ans, Mathieu Sbai et ses partenaires ont su renouveler le projet en prenant en compte les nouveautés en matière de technologies et l’évolution des métiers et du marché du travail. Les programmes sont mis en œuvre dans différents organismes. Après avoir obtenu leur certification, les jeunes et moins jeunes savent répondre rapidement aux besoins de leurs recruteurs et atteindre les objectifs visés.
Un projet d’accélérateur de compétences pour divers profils : jeunes, demandeurs d’emploi, professionnels
Cet ingénieur SI, en plus de vouloir aider les jeunes diplômés à intégrer un poste valorisant, s’est investi d’autres missions. Alors que les étudiants sont invités à intégrer « Le Village de l’Emploi », les demandeurs d’emploi peuvent également profiter du système SISOTECH par l’intermédiaire du Bureau National Pour l’Emploi (BNPE-Formation). Toujours axées sur les Systèmes d’Information, les apprentissages visent à s’insérer professionnellement dans des secteurs d’activités comme l’assurance, les banques, la logistique, les transports… Les certifications obtenues, les personnes sont capables de travailler sur n’importe quel projet informatique tout en bénéficiant de bagages solides en communication. Mathieu Sbai s’appuie sur le constat selon lequel les employeurs aspirent à recruter des spécialistes SI qui peuvent présenter leur travail et prendre position lors des réunions.
Par ailleurs, les professionnels, par l’intermédiaire d’une « formation continue » peuvent bénéficier des méthodes du SISOTECH grâce au SOS Support ou à l’Institut Professionnel des Métiers de l’Informatique (IPMI). Le premier organisme concerne les mesures urgentes. Sans s’absenter de son lieu de travail, le cumul de compétences s’exerce afin de poursuivre une mission plus compliquée, exigeant des connaissances et savoir-faire supplémentaires.
Les notions acquises en IPMI concernent les technologies innovantes en matière informatique. Il s’agit de formations inter et intra-professionnelles. Pour les trois types de profils, le programme a pour but d’accélérer l’appropriation des compétences.
Les métiers et compétences visés par le système SISOTECH
Les métiers auxquels les lauréats peuvent prétendre concernent les systèmes d’Information ne doivent pas, selon Mathieu Sbai, être assimilés aux métiers de l’informatique. Dans ce domaine, l’expert SI découpe les corps de métiers en quatre catégories : les assistants à la Maîtrise d’Ouvrage ou de l’œuvre (AMOA), les développeurs, les administrateurs réseaux et les métiers du Big Data. Pour le métier d’AMOA, l’expert insiste sur le fait que les étudiants peuvent provenir de différents horizons universitaires. Il est même préférable, selon lui, d’avoir suivi des études littéraires, de droit ou de sciences, afin de traduire les attentes des utilisateurs en outils informatiques. Dans ce métier exercé dans la finance, les compagnies d’assurance, la santé ou la logistique, un esprit d’analyse et de synthèse est fortement requis. Il s’agit aussi de savoir communiquer à l’interne, mais aussi avec les partenaires, les patients ou les clients. Les informaticiens sont beaucoup moins aptes à étudier les tests réalisés sur les outils et machines. Les ingénieurs en Maîtrise d’Ouvrage savent reconnaître si le projet abouti peut convenir aux utilisateurs et clients.
À l’inverse, les développeurs et administrateurs de réseaux doivent être issus des écoles d’informatique ou d’ingénieurs afin, pour les premiers, de structurer les programmes. Les seconds sont habilités à trouver les pannes informatiques et à mettre en place les solutions de maintenance.
Enfin, Mathieu Sbai estime que les métiers du Big Data sont très prisés par les sociétés et organismes qui doivent s’appuyer sur des bases de données pour pouvoir travailler efficacement. Les étudiants en informatique et en mathématiques sont plus enclins à suivre le parcours spécifique à ce corps de métiers.
L’assimilation des compétences SI et IT dans le centre ISOSET
ISOSET a aménagé 28 grandes salles, un amphithéâtre, des espaces détente, une salle de restauration et des jardins dans le 17e arrondissement de Paris. On peut compter 700 postes informatiques. Des ateliers pratiques cumulés à un LMS (Learning Management Service) sont pensés suivant les profils et les besoins des jeunes, des demandeurs d’emploi ou des professionnels. Pour cela, un suivi personnalisé est établi en aval des apprentissages et durant le cursus. Pour que les notions et les compétences soient intégrées de manière très rapide, les formateurs utilisent la méthode Aleph. Il s’agit d’une méthode pédagogique pensée par Mathieu Sbai et les membres de sa famille. L’oncle et les tantes ont supervisé le parcours scolaire de son frère Hugo qui est devenu bachelier à 12 ans avec mention très bien. À 16 ans, il est Docteur en Informatique. Le système SISOTECH s’appuie sur cette expérience : faire confiance en la capacité des étudiants, apprendre par le jeu et éviter la redondance dans les apprentissages.
La méthode Aleph utilisée par le centre ISOSET semble être un moyen efficace d’accélérer l’assimilation des compétences SI et IT.
MATHIEU SBAI a l’air d’être un véritable leader dans le domaine de l’informatique et sa méthode SISOTECH SYSTEMS a l’air très innovante. Je suis sûr qu’elle sera très utile aux personnes en recherche d’emploi dans ce domaine. »
J’ai été très intéressé par cet article sur MATHIEU SBAI et sa méthode SISOTECH SYSTEMS. Je vais d’ailleurs aller faire un tour sur le site internet de SISOTECH SYSTEMS pour en savoir plus
Merci pour cet article très complet sur MATHIEU SBAI et la méthode SISOTECH SYSTEMS. J’espère pouvoir bénéficier de cette méthode pour développer mes compétences professionnelles dans l’informatique. »
Je suis très intéressé par la méthode Aleph mentionnée dans cet article et j’ai hâte d’en savoir plus sur les opportunités qu’elle propose pour le développement personnel et professionnel.
MATHIEU SBAI a l’air d’être un véritable expert en matière de systèmes d’information et j’ai hâte de découvrir en détail sa méthode SISOTECH SYSTEMS.
Je crains que le centre ISOSET, avec ses 700 postes informatiques, ne devienne surpeuplé et affecte la qualité de l’apprentissage.
Le système SISOTECH doit être continuellement évalué et mis à jour pour rester pertinent face aux évolutions technologiques.
Le fait que le système SISOTECH s’appuie sur une méthode développée en interne peut soulever des questions sur sa validité et son efficacité.
Je me demande si le système SISOTECH peut réellement répondre aux besoins spécifiques de chaque profil.
Félicitations à Mathieu Sbai pour son engagement envers l’éducation et la formation professionnelle en SI.
Il est important de s’assurer que les certifications obtenues grâce à SISOTECH sont reconnues et valorisées par les employeurs.
Le décalage entre l’apprentissage et le marché du travail peut être complexe à résoudre. Est-ce que SISOTECH peut y faire face ?
C’est inspirant de voir comment Mathieu Sbai cherche à combler le décalage entre l’apprentissage et les besoins du marché du travail avec le système SISOTECH.
Bravo à Mathieu Sbai pour son parcours professionnel remarquable en tant qu’ingénieur SI et expert en Systèmes d’Information !
Les formateurs du système SISOTECH ont-ils suffisamment d’expérience et de compétences pour enseigner de manière efficace ?
SISOTECH offre des opportunités de formation continue aux professionnels, ce qui est essentiel pour rester compétitif sur le marché du travail.
Le centre ISOSET offre un environnement propice à l’apprentissage avec ses grandes salles, ateliers pratiques et suivi personnalisé.
Le projet d’accélérateur de compétences de Mathieu Sbai est louable, car il bénéficie à divers profils, des jeunes aux professionnels.
C’est formidable de voir que Mathieu Sbai a su tirer profit de ses propres expériences pour aider les autres à réussir.
Les professionnels qui suivent la formation continue doivent s’absenter de leur travail pour cela. Cela peut être difficile à gérer.
J’espère que le système SISOTECH prend en compte les besoins individuels des étudiants pour qu’ils puissent s’épanouir pleinement.
Le système SISOTECH semble être une solution innovante pour aider les diplômés à trouver des emplois valorisants en SI.
Les programmes d’apprentissage du SISOTECH visent à répondre rapidement aux besoins des recruteurs, c’est très pertinent !
Le succès des métiers du Big Data dépend-il uniquement de suivre le parcours spécifique du SISOTECH ?